propositions pour l'avenir de la Seine-Saint-Denis partie 1

 

Elections cantonales des 9 et 16 mars 2008
 
 
 
Projet soumis au débat
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
« NOUS SOMMES RASSEMBLE-E-S SUR UN MEME OBJECTIF »
 
Nous sommes des femmes et hommes représentatifs de la diversité de la Seine-Saint-Denis, candidat-e-s aux élections cantonales, membres du Parti communiste, d’autres partis ou d’aucun parti. Nous sommes divers mais rassemblés sur un objectif : changer la Seine-Saint-Denis.
 
Oui, la vie des habitants de la Seine-Saint-Denis doit changer. Mais ce changement ne se fera pas sans eux car justement l’avenir de la Seine-Saint-Denis réside dans la possibilité offerte à chacune et à chacun de déployer toutes ses potentialités qui sont immenses dans cette jeunesse diverse et inventive, chez les travailleurs, les entrepreneurs, les artistes qui modèlent ce territoire.
 
Nous voulons plus encore mettre ces talents en synergie pour bâtir une Seine-Saint-Denis pour tous, en développant les solidarités dans le respect de chacun.
 
Soyons clairs, cet objectif est contraire à la politique de Sarkozy qui s’attaque aux retraites, à la sécurité sociale, au pouvoir d’achat, au code du travail, aux universités… Son modèle, c’est l’ultra libéralisme et la société du chacun pour soi. Inspirée par le MEDEF, c’est une politique très dure pour les gens modestes qui sont très nombreux dans notre département.
 
Rappelons aussi qu’en nous transférant 300 millions de charges nouvelles sans compensation, la droite sacrifie la population aux exigences de la rentabilité financière.
 
Notre département est né il y a 40 ans. Dix ans à peine après sa création, il est frappé de plein fouet par la crise industrielle. Il en porte encore les séquelles. Mais malgré ce coup dur, il a su entreprendre sa mutation avec courage. Le travail de ses habitants a permis à la Seine-Saint-Denis de se tourner vers l'avenir.
 
Aujourd'hui on ignore trop souvent qu’il est premier pour la création d’emplois, qu'il est le second pôle universitaire et culturel d'Ile-de-France, qu’il possède une politique environnementale reconnue au plan international et qu'il est le 5ème département français pour le PIB.
 
La Seine-Saint-Denis, ses habitants contribuent à la richesse nationale. Leur travail devrait leur permettre de vivre dignement. Mais hélas trop d’entre eux subissent le chômage, un quart de la population des moins de 65 ans gagne moins de 845 Euros par mois. Et pour beaucoup de jeunes, l’ascenseur social est en panne. Ce sont des vies brisées, des rêves gâchés et parfois au bout la révolte.
 
Bien sûr, nombreux sont les habitants qui vivent correctement et certains même très bien mais des quartiers, des villes entières accumulent toutes les difficultés sociales. C’est un gâchis humain dramatique, personne ne peut y être indifférent. Il nous empêche de vivre bien ensemble.
 
Cette situation est le produit de choix politiques, au niveau européen et national, la situation de notre banlieue ressemble à celles de nombreuses métropoles dans le monde. La prochaine étape ne peut être la constitution de « ghettos à l’américaine »
 
Notre campagne se veut une riposte à l’offensive tout azimut de la droite car pour nous, contrairement à certains de nos partenaires de gauche, ce n’est pas seulement la méthode utilisée par Sarkozy que nous combattons, c’est une réelle alternative sociale et écologique à gauche que nous voulons construire.
 
Nous nous sommes attaqués aux injustices avec des politiques publiques innovantes : les aides à la construction de logements sociaux, les chartes pour l'emploi, l’aide au financement du permis de conduire, l’instauration du quotient familial pour la cantine des collégiens, le financement à 50% la carte Imagin’R, la contribution à l’achat d’un ordinateur pour tous les élèves de 6ème..
 
Nous exigeons de l’Etat l’égalité républicaine. Les inégalités fiscales et sociales en Ile de France sont inadmissibles : nous voulons une réforme de la fiscalité locale.
 
Nous pourrions donner beaucoup d’autres exemples, notamment en matière d’environnement et de sauvegarde de la planète avec l’agenda 21 départemental ou la Biennale de l'Environnement. Et nous le ferons lors de prochains rendez vous car nous avons des idées, des propositions et une grande ambition pour notre département. Nous démultiplierons les espaces de démocratie et de co-élaboration. Nous savons pouvoir compter sur la détermination et l'intelligence collective de nos concitoyens, nous voulons franchir avec eux une nouvelle étape dans l’élaboration de la politique départementale.
 
Nous le ferons avec toutes celles et tous ceux qui veulent construire un projet moderne, solidaire et humain, respectueux de l'égalité républicaine. 
 
 
 
(Déclaration remise à la presse le 12 décembre 2007)
 
 
 
 
 
Une nouvelle étape pour un projet d’avenir
 
Département-monde, la Seine-Saint-Denis innove, favorise l’émergence de nouvelles solidarités, porte de fortes revendications sociales et politiques. Contre les fractures sociales et territoriales, elle veut contribuer à un développement régional équilibré. Elle agit pour un aménagement concerté de l’Ile-de-France, décidé démocratiquement.
Contre la marchandisation et la loi de la jungle, nous proposons le développement des services publics pour l’accès de tous aux droits fondamentaux de la personne humaine, le respect et la reconnaissance des libertés et des diversités, le développement économique respectueux de l’environnement, la sécurisation de la vie professionnelle, l’ambition d’une éducation de qualité et de la réussite scolaire pour tous.   
Alors que certains veulent supprimer les départements, nous réaffirmons la pertinence de l’échelon départemental, sa capacité à favoriser des projets partagés, sa vocation à impulser des innovations démocratiques. C’est aussi pourquoi nous défendons, au-delà des seules compétences obligatoires, la volonté qui est la nôtre d’intervenir sur tous les sujets qui concernent la vie quotidienne des habitants.
 
Le projet de la modernité
Notre action a permis à la Seine-Saint-Denis de beaucoup bouger depuis 10 ans. Sa contribution au dynamisme régional et national est réelle et reconnue. Il est possible d’y vivre bien au diapason des possibilités de notre époque. Avec la jeunesse et toutes les forces vives, nous voulons ouvrir une perspective émancipatrice bousculant et dépassant les logiques libérales.
Avec vous, nous pensons que la modernité n’est pas le repli sur soi et la soumission à la dictature des marchés financiers. La modernité, c’est la construction des droits collectifs favorisant l’exercice des libertés individuelles, la réalisation des talents de chacun, la possibilité de maîtriser son présent et son avenir.
Nous nous engageons à mettre le Conseil général au service de l’amélioration de la vie quotidienne, pour construire les droits fondamentaux de chacun : travailler, apprendre, se loger, se déplacer, se soigner, se cultiver.
 
Le projet de la démocratie
La démocratisation des institutions et une véritable décentralisation sont au cœur de notre projet pour permettre aux femmes et aux hommes d’acquérir de nouveaux pouvoirs, de participer à la définition et à la mise en œuvre des politiques publiques.
En Seine-Saint-Denis, de nombreuses dynamiques démocratiques et partenariales contribuent d’ores et déjà à cet objectif avec, par exemple, les assisses pour l’emploi, l’observatoire de la bio-diversité, l’appel « agir ensemble pour la culture », le forum des jeunes, la biennale de l’environnement etc.
Nous voulons franchir une nouvelle étape pour vous permettre de participer à la définition des grandes orientations du Conseil général, d’apporter votre contribution aux grands projets que vous jugez prioritaires, d’agir ensemble contre toutes les discriminations et pour le droit de vote de tous les résidents.
 
 
Le projet du développement durable
Le devenir de la planète, la préservation des espèces, le développement économique respectueux des ressources énergétiques et de l’environnement, la réduction des terribles déséquilibres mondiaux, conduisent à construire un autre monde, une autre logique économique.
Contrairement aux idées reçues et grâce à l’action du Conseil général, la richesse en espèces végétales et animales de la Seine-Saint-Denis est importante. De grands espaces verts ont été créés. Nous avons construit un partenariat exemplaire avec des nombreuses associations ainsi qu’avec le P.N.U.E., Programme des Nations Unis pour l’Environnement et l’UNESCO.
Partisans d’une écologie populaire et humaniste, nous proposons de faire avancer d’un même pas le progrès social, le développement économique et la promotion des services publics. La Seine-Saint-Denis est en pleine mutation, c’est une chance pour la prise en compte des normes environnementales les plus récentes.
NOS AMBITIONS ET NOS PROPOSITIONS
 
 
 
La démocratie participative, pour changer !

Nous sommes pour la démocratie, le pouvoir du peuple, parce que les transformations sociales nécessaires ne peuvent s’envisager et se réaliser sans la participation des citoyens eux- mêmes. Aujourd’hui nous vivons une démocratie représentative où les citoyens délèguent leur «  pouvoir » à des représentants élus pour gérer à leur place le pays, la région, le département, la ville.
Mais, nous connaissons aussi les dérives possibles de cette démocratie représentative qui, trop souvent, peut s’accompagner de démagogie, d’autoritarisme et de populisme. C’est bien à cette phase que nous assistons aujourd’hui dans le pays.
Souvent les citoyens sont associés, sous différentes formes, aux politiques publiques initiées par le Conseil général. C’est le cas, et de plus en plus dans notre département, où nous sommes attentifs à mettre en place une démarche de co-élaboration : Observatoire de la biodiversité et de l’hydrologie urbaine, Observatoire pour le développement des services publics, Forum santé, Observatoire des violences envers les femmes, Réseau pour un développement de l’éducation populaire, Agir pour la Culture, Comité de liaison pour l’emploi, Réseau contre les cancers professionnels, Biennale de l’environnement…
Nous pensons qu’il faut créer les conditions pour que les citoyens exercent de plus en plus leur pouvoir et prennent de plus en plus de responsabilité et de part dans les décisions.
Nous entendons donc aller plus avant encore dans cette direction et mettre en place une véritable démocratie participative, qui donne toute sa place à chacun sans pour autant dégager les élus de leurs propres responsabilités.
L’objectif, notre ambition, est donc bien d’aller d’une démocratie représentative en crise vers un processus de réel partage du pouvoir. Ce qui sous tend une nouvelle approche du rôle des élus du suffrage universel. Pour nous il ne s’agit pas d’une concession à l’air du temps ou à la démagogie pour une tentative de séduction. C’est bien pour nous un moyen, une méthode, les seules garanties pour avancer et répondre aux besoins et aux attentes de la population.
Sans participation de tous, dans la diversité et la confrontation, comment s’attaquer aux défis qui sont devant nous, lutter contre les inégalités, résister aux politiques néfastes mises en œuvre, ouvrir des perspectives de transformation sociale, pour vraiment améliorer la vie.
Peut-on parler de solidarité, d’équité de justice si l’on ne s’appuie pas sur la participation active des citoyens. Si l’on veut changer vraiment, il faut faire appel à l’intelligence collective, à la diversité des approches, des besoins, des expériences. Il faut donc plus de démocratie et de participation des citoyens à la gestion de ce qui est bien leurs affaires.
 
 
Nos engagements :
-          Associer le plus largement possible les citoyens et les associations dans la définition des priorités et le suivi de l’action du Conseil général (budget participatif ?)
-          Aboutir à la signature de chartes de coopération avec chacune des 40 villes qui composent notre département,
-          Donner un nouvel élan à l’éducation populaire en confortant le réseau départemental de création récente, 
-          Créer l’Agora de la Seine-Saint-Denis, pour matérialiser ces ambitions. Un lieu permanent à Bobigny, un espace public départemental clairement identifié, où puissent être mis en débat et en co-élaboration toutes les politiques départementales et plus largement tous les projets qui trouvent une traduction dans la vie quotidienne des Séquano-dionysiens.
-          Aide à la création de conseils participatifs départementaux par canton
 
 


Construire le droit à la réussite scolaire pour tous les jeunes
 
L’éducation devrait être une priorité dans notre pays. Pourtant le gouvernement renforce les inégalités: abandon de la scolarisation des plus jeunes en maternelle, sélection précoce au collège, affaiblissement du service public de l’Education nationale, suppressions de postes d’enseignants et de personnels d’accompagnement, marchandisation des activités scolaires et périscolaires, suppression de la carte scolaire, réformes sur « l’autonomie des universités»…
Ensemble, affirmons que l’échec scolaire n’est pas une fatalité, que les enfants des milieux populaires ont droit à la réussite, que changer la société c’est aussi changer l’école. Ensemble, exigeons que l’Etat mette tous les moyens nécessaires pour parvenir à cet objectif. 
Dans son champ de compétences, le Conseil général agit pour démontrer qu’il est possible, en Seine-Saint-Denis, que les enfants étudient dans de bonnes conditions par un effort d’investissement important sur les 119 collèges publics. Plus largement, il met en œuvre des actions et mesures innovantes : gratuité scolaire, quotient familial pour la cantine et qualité des repas, aide aux projets sportifs et culturels, aide à l’achat d’un ordinateur pour les élèves de 6ème,
Nous avons également pris en charge 50% du coût de la carte Imagin’R pour tous les collégiens, lycéens et étudiant. Nous intervenons pour que le Schéma Régional des Formations réponde aux besoins des jeunes et nous accompagnons les projets de développement des universités.
 
 
Accueil de la petite enfance : pour une offre mieux adaptée aux besoins des parents et des enfants, en termes de structures comme de personnels
 
La Seine Saint-Denis est un département jeune, dont le taux de natalité est le plus élevé en France. Il y a 3 ans, nous nous engagions à créer 1000 places de plus en crèches. Depuis 2004, 1400 berceaux supplémentaires ont pu être proposés aux nouveaux parents. Néanmoins, les besoins restent importants.
Pour répondre efficacement aux demandes, plusieurs chantiers sont en cours : d’une part l’homogénéisation de l’offre de places en crèches sur l’ensemble du département (une partie du territoire est encore sous-dotée) et d’autre part l’élaboration d’un dispositif permettant de répondre au manque criant d’auxiliaires de puériculture et de puéricultrices (bourses d’auxiliaire de puériculture, contrat emploi-formation, apprentissage…).
La formation de ces professionnel-le-s relève de l’Education Nationale et du Schéma Régional des Formations, le Conseil Général a néanmoins décidé de participer à la création d’un centre de formation académique d’apprentissage de 110 places, dont 40 en section de formation initiale d’auxiliaire de puériculture.
En travaillant activement à la création d’emplois d’auxiliaires de puériculture et de puéricultrices dans notre département, nous nous efforçons en premier lieu de répondre aux besoins, parfois urgents, des jeunes parents mais renforçons également notre ambition plus globale de développement de l’emploi et de la formation pour les habitants de Seine Saint-Denis.
La crèche est un des tous premiers lieux de socialisation et d’éducation pour les moins de 3 ans, il nous tient à cœur d’assurer son efficacité, son professionnalisme et de faire en sorte que l’offre soit adaptée à la demande de tous les Séquano-dyonisiens.
Notre ambition pour la jeunesse trouve là toute sa cohérence dans l’importance donnée à l’aide aux jeunes parents comme à celle accordée à leurs enfants, dans les toutes premières années de leur vie.
Nous agirons pour que l’Etat développe la scolarisation dès l’âge de 2 ans en maternelle.
 
 
 
Nos engagements :
-          aider à la création de 2500 places supplémentaires dans les 3 ans à venir
-          aide prioritaire aux communes à faibles ressources et/ou sous-dotées, particulièrement dans l’Est du département
-          diversification des modes d’accueil, micro-crèches, crèches d’entreprise
-          généralisation d’un projet éducatif sur l’égalité entre garçons et filles
-          agir pour la création par l’Etat et la Région de places de formation d’auxiliaires de puériculture
 
 
 
Collèges : assumer nos compétences et agir pour la réussite
 
Le temps du collège est un temps charnière pour les jeunes, celui de l’adolescence, de la réussite scolaire mais aussi celui du risque de rupture avec le système éducatif.
L’Education Nationale à la responsabilité de l’enseignement, le Conseil général celui de la construction et de l’entretien des bâtiments, des personnels techniques et de la restauration scolaire.
Nous sommes aux côtés de toute la communauté éducative pour exiger des enseignants mais aussi des assistantes sociales et des infirmières en nombre suffisant, une pédagogie innovante et efficace.
Notre premier objectif est de construire et rénover des établissements pour que les collégiens puissent y travailler dans de bonnes conditions. Durant la dernière mandature nous avons construit et rénové 20 collèges.
Mais nous ne sommes pas restés figés sur nos compétences obligatoires, nous avons créé un quotient familial pour que tous puissent bénéficier d’un repas de qualité, nous avons pris en charge 50% de la carte Imagin’R, nous avons participé financièrement à l’acquisition d’un ordinateur pour tous les élèves de 6ème. Nous voulons qu’ils soient des lieux d’études et d’épanouissement qui motivent et donnent envie, mais aussi des pôles de lien social, de rencontre et d’échange dans le quartier et dans la ville. Les collèges représentent aussi un point d’appui essentiel pour notre politique culturelle.
Nous sommes opposés à la suppression de la carte scolaire. Sous prétexte de liberté des familles, cette suppression ne peut qu’accroître les injustices en aggravant les inégalités entre collèges. Pour cela, avec les collégiens, les parents et les enseignants qui fréquentent nos 119 collèges nous avons à cœur d’y déployer une politique originale, innovante qui s’attaque aux inégalités et donne des perspectives nouvelles de réussite.
 
Nos propositions :
 
-          Création, avec les acteurs institutionnels, syndicaux et associatifs d’un observatoire participatif de la réussite scolaire en Seine Saint-Denis.
-          Poursuivre la construction de collèges sur des programmes concertés et favorisant leur ouverture sur le quartier, poursuivre la modernisation des collèges existants.
-          Agir auprès du STIF et de la Région pour une prise en charge à 100% de la carte Imagin’R, pour faciliter la mobilité et l’autonomie des jeunes
-          La mise en place du quotient familial, qui répond à une exigence sociale, doit s’accompagner de la qualité nutritive et gustative des repas pour en faire un objectif de santé publique.
-          Faire de la pause méridienne un moment propice aux pratiques culturelles et sportives en développant des activités qui prennent en compte les attentes et désirs des collégiens. Pour ce faire nous entendons poursuivre et développer la mise à disposition de médiateurs culturels et multiplier les résidences d’artistes.
 
 
 
 
Soutenir le développement de l’enseignement supérieur
 
En nombre d’étudiants, la Seine Saint-Denis est le 2ème département universitaire en Ile-de-France après Paris. Elle abrite de nombreux centres de recherche publics et privés.
Nous agirons pour le développement de l’enseignement supérieur et l’implantation de nouvelles équipes de chercheurs, l’accès aux études d’une population toujours plus large et diversifiée. L’Etat doit donner à l’enseignement supérieur les moyens de son développement.
Parce qu’il considère qu’il s’agit d’un élément stratégique de développement du territoire, le Département est partenaire des trois universités situées sur son territoire : Paris 8-Saint-Denis, Paris 13-Villetaneuse et Bobigny, et Marne-la-Vallée.
 
Nos propositions :
-          Renforcer le partenariat avec les pôles universitaires de Seine-Saint-Denis. Agir pour une bonne desserte en transport de Paris 13, pour le développement du site de Bobigny autour de la faculté de médecine et de l’école d’infirmière, pour la structuration d’un pôle international de recherche en sciences sociales autour de Paris 8 à Saint-Denis.
-          Signer des chartes de coopérations pour marquer les engagements réciproques du Conseil général et des Universités,
-          Aider à la construction de logements étudiants.
 
 
Vous avez des avis, des propositions…
 
 
 
 
 
 
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